Depuis des années, les autorités de santé le martèlent : les antibiotiques, c’est pas automatique. Leur prise induit en effet des risques individuels et collectifs. Si les prescriptions dans les cabinets des médecins sont souvent étudiées et parfois pointées du doigt, celles des dentistes restent dans l’ombre. Or, entre 8 et 10 % des prescriptions d’antibiotiques sont faites par des dentistes. À bon ou à mauvais escient ?
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