
Le week-end du 1er juillet, la SNCF inaugurait deux nouvelles lignes à grande vitesse. Inouï - c’est le cas de le dire - Bordeaux n’est plus qu’à 2h04 et Rennes à 1h25 de Paris… Reste que le TGV inaugural reliant la capitale à Toulouse, et empruntant le nouveau tronçon via Bordeaux, est arrivé avec 5h de retard… à cause d’un Intercités en panne. Cet incident bien moins médiatisé que le lancement des « LGV » la veille soulève clairement la question des investissements dans le réseau existant.
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